Fiction: L'appel Du Sang.


Prologue

C'était encore une de ces nuits sombres et froides dans la Montagne. La neige glaçait tout sur son passage et passait en tempête. Deux hommes, marchaient depuis maintenant de nombreuses heures dans cet enfer glacé. Ils avaient entendu le cri retentissant d'un Kushala Daora. Ils arrivèrent alors sur un replat et restèrent figés de stupeur par le spectacle qu'ils avaient devant leurs yeux.
La neige était rouge de sang, et deux formes gisaient sur le sol.
Un des hommes s'exclama alors :
- Creb ! Regarde ça ! C'est un Kushala !
- Ouais et il est sacrément amoché... Observe bien son flanc Rael , il est littéralement déchiré. Le métal qui recouvre son corps est brisé ! Je n'ai jamais vu ça !
- Ce n'est pas chasseur qui a fait ça , jamais un humain ne pourrait infliger de tels dégâts, répondit Rael.
- Hé, mais regarde le deuxième, c'est un gosse ! , s'écria Creb.
- Il respire.
C'était un jeune homme d'environ 14 ans, plutôt mince et bien développé des épaules, il portait une armure faite toute en Blangonga en totalement déchiquetée, mais son front portait d'étranges marques .
Creb et Rael s'empressèrent de le ramasser et de le transporté au paisible village de Pokké... sans savoir ce qui les attendait chez ce garçon.


Chapitre 1 : Mémoire inexacte.
Un mois s'étaient écoulé depuis la découverte de Creb et Rael dans les montagnes enneigées. Les deux frères se tenaient assis au chevet du jeune garçon. Celui-ci, après avoir été entouré de soins intensifs pendant un mois avait retrouvé une santé à peu près normale. Sa respiration se faisait moins saccadée. C'est alors qu'il ouvrit les yeux, se redressa péniblement sur son lit, et entrepris d'observer les lieux avant de s'apercevoir de la présence des deux frère.
- Bonjour petit, lança Rael.
- Je suis où là ?
- Là, tu vois tu es chez nous. Dans un village qu'on appelle Pokke. Dis nous une chose déjà, quel est ton nom ?
- Mon nom ? Ben, Varr.
- Que s'est-il passé ? Demanda impatiemment Rael
- Nous t'avons ramassé en haut de ces montagnes alors que tu gisais à moitié mort...
- Je vous demande pardon mais, je ne sais absolument pas de quoi vous parlez, s'étonna Varr.
- Tu peux te lever ?
- Oui je pense...
- Eh bien vient avec nous.
Ils sortirent donc de la maison et se rendirent chez l'artisan fabricant armes et armures. C'est là que ce dernier montra à Varr l'armure blango en miette. Et devant l'étonnement de Varr, il dit :
- Nous avons retrouver cette armure sur toi il y a un mois... tu étais apparemment allongé inconscient derrière un Kushala Daora , tu ne te rappelle de rien ?
- Non, répondit Varr, mais j'ai un souvenir qui ressemble plutôt à un rêve, juste un cris puis un flash. Et après tout fut douleur et ténèbres. Je ne comprend rien à rien ! Et cette armure ne peux pas m'appartenir, je ne suis pas un chasseur.
- Et cette arme, clama alors l'artisan en dévoilant un trancheur de démon brisé.
Le jeune homme secoua la tête en signe de négation.
- Je vais te réparer ton armure gratuitement, pendant ce temps là, tu vas aller à l'école d'entrainement, le maitre va t'apprendre les rudiments de la chasse. La mémoire te reviendra peut être alors ,déclara l'artisan.
Le lendemain, Varr se rendit à son premier entrainement, pendant les deux mois qui suivirent il s'entraina dur comme lui demandait Creb.
Enfin quand les bases furent apprises ce fut la « première » chasse pour Varr. Un Cephadrome s'annonçait être une partie de plaisir...


Chapitre 2 : Phénomène féroce.
Varr se rendit donc à la guilde du village pour aller chercher la quête qu'on lui avait retenu. Mais il y rencontra Creb qui le regardait d'un drôle d'air.
- Pourquoi me dévisagez vous comme ça ? Demanda Varr soupçonneux.
- Je vais partir avec toi pour ton cephadrome, je veux voir comment tu te débrouille, et s'il te plaît tutoie-moi maintenant, répondit Creb. Tient ? Je vois que Rael t'a prêté son armure Plésioth.
- Ouais, mais elle est pas super confortable...
- Tu vas t'y faire. On y vas ?
Creb et Varr partirent donc pour le désert pour y chasser un Cephadrome. Ils parcoururent le désert quelques heures avant de trouver le nageur. Creb était armé d'un fusarbalète léger lançant les types de munitions à attribut glace et foudre, Varr lui tenait en main le trancheur de démon que l'on avait trouvé sur lui lorsqu'on l'avait récupéré. Varr lança une bombe sonique ce qui obligea la bête à sortir de sa cachette. Creb s'arma et envoya une première munition Gel, du sang coula alors sur le flanc du cephadrome qui commença à s'énerver.
Une chose alors se produisit, Varr trembla de tous ses membres, et au grand étonnement de Creb, s'élança rageusement vers le cephadrome. Ce dernier poussa un cri ridicule et cracha un jet de sable qui atteignit Varr en plein torse. Mais Varr continua son attaque comme si rien ne c'était passé. Il brandit alors son katana, qui se recouvrit de foudre, et frappa le pauvre nageur en pleine tête. Le cephadrome était devant son échec fatal. Il ne pouvait plus rien faire et le savait bien, néanmoins il ne voulait pas mourir maintenant donna un coup d'épaule rageur à son attaquant, ce dernier ne sentit rien passer et continua son carnage. Varr labourait la patte du nageur avec force, la bête s'affaiblissait sans pouvoir rien faire. Pendant ce temps Creb restait figé par ce spectacle sanglant. Une seule chose attirait son attention en fait, c'était la lumière blanche présente sur le front de Varr. Ses yeux avait la même couleur et il ne semblait pas se contrôler.
- Varr ! Stop ! Il est mort ça y est, cria Creb en voyant la bête sans vie sur le sol. Tu l'a tué c'est bon !
Varr se retourna, il était redevenu comme avant, et complètement terrifié à l'idée de son œuvre...


Chapitre 3 : Crainte et rencontre.
- C'est pas moi qui ai fait ça hein ? Je peux pas avoir fait ça !
- Je crois que tu n'étais pas tout à fait toi même Varr... ,répondit Creb. Tes marques sur ton visages étaient blanches vifs. À tu un souvenir visuel de ce que tu as fait ?
- Oui bien sûr. Mais comment dire, quand j'ai vu le sang de ce cephadrome, j'ai été comme attiré... Enfin c'est le seul souvenir visuel que j'ai. Après j'avais mal partout et tout était noir...
- Comme dans ton rêve ? , demanda Creb.
- Oui exactement !
- Dites c'est vous qui avez fait tout ce boucan !
Ils se retournèrent, une jeune fille avec une belle chevelure brune se tenaient derrière eux, son tourmenteur dégainé. Varr était sous le choc, il se demandait si il n'était pas encore victime d'une hallucination. La jolie jeune fille continua:
- On attend la boucherie à plus de cinq cents mètres ! Moi c'est Jaina. Je viens de Kokoto.On m'a dit qu'un cephadrome sillonnait le désert, mais vu dans l'état qu'il est, je dirai qu'il n'y a plus de problème. De toute façon j'aurais eu un peu de mal à le battre...
- Moi c'est Creb et lui c'est Varr, nous venons de Pokke, coupa Creb.
- Pokke, eh bien nous allons nous revoir, une fois que j'aurais acheté un compagnon félyne, j'ai l'intention de déménager las-bas ! Au fait je vous présente JenovaaH, mon grand frère !
Un solide gaillard arriva tranquillement d'un pas lent de derrière la barre rocheuse :
- Bonjour, lança-il
Devant cette montagne de muscle, Creb ne savais plus où se mettre, lui qui s'était toujours vu comme grand et fort... Un silence s'installa mais fut aussitôt coupé par la corne d'un Monoblos adulte qui vint casser la jambe de Creb en un bruit sourd. Creb hurla de douleur, pris de panique Varr se rua sur son katana resté planté dans le cephadrome. Le monoblos avait été gêné dans son sommeil par tout ce remue-ménage et semblait fortement énervé. Il chargea sur Jaina qui, n'ayant jamais encore rencontré de Monoblos resta planté sur place. Mais au moment où elle crut mourir un grand bruit se fit entendre : Jenovaah avait stoppé la charge à l'aide de sa grande épée à base de narga. Pendant que le blos restait sonné par ce dur arrêt, le frère de Jaina chargea un coup d'une telle puissance que la collerette de la bête se fissura, le monoblos hurla de douleur et de rage. Jaina, remis de ses émotion attaqua vivement et son arme pénétra dans la dur carapace du blos. Et le sang coula. Varr lui ne pu se controler, et le dieu blanc pris à nouveau le dessus... Dans cette fin d'après midi seuls les gémissements du prince du désert se firent entendre...


Chapitre 4 : Nouveaux venus à Pokke.
Pendant le retour du désert à Pokke, l'état de Creb s'était empiré. Malgré sa jambe cassée, Creb n'avait rien raté de la mise à mort du monoblos, et comptait tout faire pour découvrir ce que la nature de Varr lui cachait. Il avait bien compris que le kushala Daora retrouvé mort avait été tué par le jeune garçon, et d'après la guilde, ce dragon ancien était destiné aux chasseurs d'un rang d'au moins 6 !
Varr, lui avait eu en une seule journée deux réaction en voyant le sang des bêtes. Et il en était profondément inquiet.
- Creb ? Tu sais ce qu'il m'arrive ? Demanda-t-il avec un regard triste.
- Non, du tout, répondit Creb entre deux grimace. Mais je compte bien le savoir, je vais aller demander conseille à la capital de Dondruma, je vais partir pour quelques semaines. Il y a là-bas surement beaucoup d'expert en la matière. Je te promet de te ramener une réponse.
Varr était satisfait de cette réponse positive. Creb, lui, ne savait pas si il pourrait tenir sa promesse.
Quelques jours plus tard, ils arrivèrent à Pokke. Creb fut remis de sa blessure en un mois à peine grâce à la médecine très renommée du village. Il partit pour la capital de Dondruma le jour même où il fut guérit. Quand à Varr il continua son entrainement avec Rael, Jaina ainsi que Jenovaah qui étaient arrivés entretemps.
- Tu te débrouille pas mal jeune homme ! Déclara Jenovaah. Enfin quand tu n'est pas en mode bizarre !
Par une ingénieuse idée de Rael, Varr disposait maintenant d'un bandeau qu'il plaçait devant ses yeux. Il voyait à travers mais ne distinguait pas les détails. Le bandeau était noir, donc les couleur était effacée et le sang n'était simplement qu'une « eau sale ».
- Oui, répondit Varr. Creb m'a appris plein de petite techniques !
- Tu dois rien voir avec ce bandeau mec ! Commenta Jaina. Nan mais quelle idée !
- Si au contraire c'est bien pratique ,se défendit Varr en arrachant les cornes de son anteka.
À vrai dire, Jenovaah et sa soeur s'ennuyaient. Les bases étaient déjà vues pour eux et surtout pour le frère qui était déjà rang 6. Jaina, elle, n'avait que 15 ans et étant rang 2 n'était pas tout à fait experte en l'art de chasser sans y donner plus de volonté. Un jour la chef du village vint consulter Varr en lui demandant de chasser un blangonga. Mais la prime ne seraient distribuée que par victoire « normale ». Varr répondit qu'il n'y avait pas de problème et accepta... le soir même il partit pour son troisième monstre armé d'une lame wivern sang et de son armure blango remise en état par l'artisan... .


Chapitre 5 : le Dieu et le Blangonga.
Varr partit donc avec espoir de la victoire. Les préparatif terminés, il partit rapidement en direction du camps de base des montagnes qui se trouvait à quelques kilomètres du village. Arrivé au camp il planta la tante, pris son matériel et enfila son armure. La traque pouvait commencer...

Il longea pendant un petit quart d'heure un étroit chemin escarpé qui devait le mener vers un large plateau où était étendu un grand lac. En arrivant il en profita pour se tremper le visage et se regarda dans l'eau clair. Son visage autrefois clair et propre semblait sale et portait d'horribles marques. Ses cheveux bruns toujours décoiffés avait gardé leur beauté. Sans le savoir il restait un garçon très séduisant.
Varr mangea un peu, remis son casque et repartit chercher le Blangonga. Un faille s'était formées dans la roche et permettait un accès rapide à une caverne recouverte de partout d'une épaisse couche de glace. Il était donc nécessaire à l'utilisation de crampon. Heureusement pour Varr, ses jambière en était équipées. Il entra donc par la faille et entrepris de chercher une sortie débouchant dehors. Après une courte foulée il parvint à une petite élévation qui donnait à une seconde voie qui avait l'air de s'enfoncer dans les profondeurs de la Terre, mais une petite lueur blanche décida la jeune homme à s'y aventurer. Quelques mètres plus loin, il y avait effectivement une sortie. Varr la franchie après avoir avoir rapidement éliminé les giapreys qui avaient apparemment élu domicile ici.

Dehors le froid était total, Varr but tout de suite un breuvage lui permettant de repousser ce froid intense. Il inspecta les alentours et trouva en poussant un soupir de satisfaction une grande trace appartenant apparemment à un primatius.
- Le blangonga est forcement passé par là ,se dit Varr.
À peine avait-il prononcé ces paroles, un cris retentit. Une ombre passa au dessus de sa tête et un bruit de chute se fit entendre, la bête était revenue ! Vaar n'avait pas de chance les Blangonga était justement tombé dans sa direction. Il se trouva donc face à lui. En le voyant le primatius poussa un cris rauque qui retentit dans toute la montagne. Le jeune homme dégaina son arme. Déjà, le sa cible fonçait sur lui, bien décidée à le transformer en son casse croute. Par réflexe, Varr, roula sur le côté, se releva rapidement et eu à peine le temps de planter son arme dans la dure chair de son adversaire avant de se faire éjecter plus loin ( Note de l'auteur : oui il est encore bien débutant ) . La blessure du monstre bien que profonde, n'était pas bien grave mais le blangonga n'en était pas moins furieux. La bête se leva sur ses pattes arrières et se laissa brusquement tomber sur le sol qui trembla sous le choc. C'est en voyant cette ouverture que Varr décida de porter une attaque. Il abattit son arme sur le monstre plusieurs fois de suite avant que ce dernier ne parvienne à se dégager. Mais il était trop tard, la lame avait atteint la température suffisante et Varr avait mainteant l'option de déchainer la puissance de feu la plus destructrice de son arme grâce à la « fougue lame ».
L'adolescent plongea sur le coté afin d'éviter une nouvelle charge et, après avoir rejoins la bête, déchaina le coup dévastateur. Le Blangonga hurla alors de douleur, il recula d'un bon et émit un cris qui ressemblait fortement à un appel. Une troupe de cinq blangos fit irruption. Varr n'avait pas connaissance de ce type de rassemblement; perdu, il fonça vers l'un des singes blancs et lui inséra la lame entre les deux yeux. L'animal s'écroula. Varr profita du moment d'hésitation de ses adversaires pour battre en retraite. Rapidement il arriva sur un grand replat. Il se soigna à l'aide d'herbe et repris quelque forces en mangeant.
Quand Varr revint sur son précédant champs de bataille, le Blangonga avait disparu.


Chapitre 6 : Mise à mort et décision.
Plusieurs heures de recherche s'écoulèrent avant que Varr ne retrouve le Blangonga avachit sur son derrière, visiblement occupé à rongé un os. Varr ne s'était pas encore fait repérer et en profita pour préparer un plan d'attaque. Très discrètement il posa un piège émettant des courants électriques paralysants. Il entoura ce piège de deux bombes, l'une à coté de l'autre de sorte que l'explosion soit très violente. Puis il recouvrit le piège de neige. Le plan était prêt. Varr sortit alors une flûte de sa sacoche et commença à souffler dedans le plus fort possible. Le Primatius fut aussitôt prévenu de sa présence, il se leva et voyant que l'adolescent l'avait retrouvé, il effectua une charge ,aveuglé par la rage il finit par ne pas voir le piège juste devant lui. Les rayons prirent aussitôt emprise sur son système nerveux qui fut paralysé. Varr, satisfait du bon déroulement de son plan, ramassa une pierre en forme de disque et la lança de toutes ses forces sur les bombes placées devant le visage de la bête impuissante. L'explosion fut imminente, et d'une puissance telle que le piège à choc explosa et la Blangonga fut projeté sur le coté. Varr dégaina et se précipita sur le monstre qui essayait vainement de se relevé, et le laboura de coup au niveau des cottes. Celle-ci n'était en fait recouverte que d'une fragile couche de peau. Les Blangonga, conscient de cette faiblesse ne laissent jamais approché un chasseur de cette partir de leur corps. Varr, avait réussi à mettre à découvert une des grandes faiblesse de ce primatius. Le Blangonga était touché à mort. Ivre de rage et de douleur, la bête frappa Varr de son poing qui vola sur quelques mètres. Le sang couvrait la neige, une quantité de sang si importantes que l'odeur s'élevait des flaques formées par la blessure. Varr ne pu s'empêcher sentir cette odeur, qui provoqua chez lui une sorte de rage . Ce n'était pas une crise, il le savait, il se contrôlait. Il courut à toute vitesse vers le Blangonga qui essayait de se mettre à l'abris pour récupérer, mais il était trop tard : Varr se tenait devant lui, le jeune homme enfonça alors la pointe de son arme dans le crâne du chef blango. Ce dernier s'effondra, raide mort.
- C'est fini , dit Varr à voix haute.
Fier et victorieux, Varr retourna au camps de base, se soigna et se reposa. Il envoya alors un message par oiseau au village de Pokke. Plus tard dans la soirée, deux employés de la guilde vinrent à sa rencontre.
- Nous nous occupons de la bête, dirent -ils à Varr.
Le lendemain, Varr était de retour au village. Il fut accueilli par Raël et Creb accompagnés de Jaina et de son frère Jenovaah.
- Bravo garçon ! ,cria Creb, alors ? Comment était ta première véritable chasse ?

Creb et Rael emmenèrent alors Varr à l'écart pendant les festivités en l'honneur du jeune garçon. Ce fut Rael qui commença :
- Écoute, Varr, pendant ton absence nous avons réfléchi à quelque chose Creb et moi...
- Nous ne savons pas vraiment pourquoi tu te mets dans un état absolument diabolique à la vue du sang, poursuivit Creb.
- Et il faut à tout pris savoir ce qui ce passe. Pourquoi tes sortes de cicatrices deviennes blanches et lumineuses...
Varr écoutait très attentivement, bien que son esprit était tourné vers une jeune femme qu'il avait déjà remarqué à la guilde.
- Donc, il est primordial que tu te rendes à la capitale de Dondruma, la bas j'ai vu, quand je suis partit un ancien. Je lui ai parlé de ton cas, déclara Creb, il m'a alors affirmé que tu n'est pas seul...
- Je ne suis pas seul à être dans ce cas ? Questionna Varr avec espoir.
- Non, ce n'est pas ça, il a dit...
- que tu n'est pas seul à l'intérieur de toi même,termina nekhot qui s'était avancé entre temps. Tu est une sorte de réincarnation... mais je n'en sais pas plus.

Varr était sous le choc, lui une réincarnation et puis quoi encore !
- Mais je ne sais pas comment aller à Dondruma moi ! Rétorqua -t-il. Creb ? Tu m'accompagneras hein ?
- Je n'ai pas le droit et mon frère non plus... ,dit Creb. Nous venons d'être appelés pour une quête d'extrême urgence, un Shen Gaoren vient de faire son apparition près de la route de Hûm-Là- Dîm. Il faut l'arrêter sinon c'est la sécurité de Dondruma qui sera en jeu...Je suis désolé.
- Tu ne peux pas m'abandonner Creb ! Ce n'est pas possible ! Aide moi une dernière fois !
- Je vais te dire juste ce que tu as besoins de prendre pour la route. Et je vais t'expliquer le trajet.
Varr, Creb et Rael rentrèrent chez eux et sortirent une grande carte d'une bibliothèque.
-Voilà, tout d'abord il te faut passer le Montagne enneigées, évite tout combats, quand tu passera le col, tu devras redescendre vers les plaines de Dondruma. Arrivé à ce point, il te faut bifurquer à l'est, et rejoindre les collines bordées de forêt. Tout est organisé, j'ai déposé sous une pierre en forme d'œuf, des vivres et de nouvelles indications. Tu ne devrais normalement pas te tromper.
- Jeune homme, je te souhaite bon courage dit Rael. Et si tu te bas, n'oublie jamais : la fuite réside parfois dans la sagesse.
- Aller vas te coucher demain tu pars tôt.
Varr partit donc faire quelques préparatifs et se coucha. Et la nuit fut bien longue pour lui, ne réussissant à s'endormir que très tard.


Chapitre 7 : Accompagnement inattendu.
Le lendemain à l'aube, Rael alla réveiller Varr pour le voyage vers la capitale de Dondruma.
Le jeune homme, prépara avec soins ses dernières affaires sans oublié son précieux bandeau noir. Il n'emportait que deux armes avec lui, un superbe fusarbalète que lui avait généreusement payé Creb à base des composants de Blangonga récupérés et sa longue épée que Rael lui avait amélioré. Elle portait maintenant le nom de Vrai trancheur de Démon. Varr savait que c'était un honneur pour lui de disposer d'une lame de niveau supérieur et était d'une extrême reconnaissance envers les deux frères. Aussi, il acheta le matin même un félyne destiné à l'aider dans ces combats et ses entreprises de quêtes. Après avoir dit adieu au habitants de Pokke, Varr se dirigea vers la sortie du village. C'est alors qu'un grand cris retentit :
- Hé ! Varr ou je ne sais quoi ! On vient avec toi !
Jaina avait crié si fort que Varr sursauta.
Une grande main s'abattit sur son épaule.
- Oui, jeune homme, il est temps pour nous de se remettre en chasse. Disons que j'ai besoins d'exercice et...
Jenovaah se penchât vers l'oreille de Varr et lui dit :
- et je crois que ma sœur a le coup de foudre pour toi. Abattre un Monoblos comme tu l'a fait c'est surprenant !
Varr se dégagea doucement.
- Merci de m'accompagner, au moins... enfin aucune importance.
C'est ainsi que la petite troupe partit pour une quête dont la cause risquait de les perdre à tout jamais.

------------Montagnes enneigées-----------

- J'en ai marre ! On arrivera jamais !
- Écoutes Jaina, on vient de partir il y a à peine trois heure et on en a pour deux mois, alors cesse de te plaindre petite sœur.
La petite compagnie avait maintenant atteint le camps de base situé en haut dans les montagnes et s'y était un peu reposé. Ils n'avaient encore rencontré aucune bête agressive et en étaient bien contents. C'était alors une journée plutôt ensoleillée dans les montagnes la neige, tombée la nuit était encore bien fraiche et crissait sous les bottes.
Ils se remirent donc en route après avoir repris quelques forces. Le compagnon Félyne de Varr s'appelait Dan et bien qu'il travaillait essentiellement à l'arme les bombes faisaient partie de ses fonctions. Mais n'étant pas encore très expérimenté il grelotait de froid. Quand au compagnons de Jaina, cette dernière l'avait laissé à Pokke. <
L'heure du déjeuner approchait lorsqu'un cris lointain retentit dans les profondeurs de la montagne.
- Un Khezu adulte, affirma Jenovaah. Nous risquons de le croiser pendant notre route. Il faut passer par les cavernes pour atteindre le col de l'autre côté.
Mais la wivern n'était pas le seul prédateur et bientôt un groupe d'une quarantaine de giaprey commença à suivre les voyageurs. À sa tête un petit giadrome encore adolescent et sans l'expérience des adultes. Peu après, il ordonna aux petits dinosaures blancs de passer à l'action. Pour les voyageurs ils ne représentait pas un danger à part entière mais ils étaient nombreux.
Un giaprey vint barrer la route à Jaina qui se fit encercler rapidement. Elle dégaina son tourmenteur et se mit en position d'attaque. Par un balayage rapide elle trancha quatre giapreys. Varr et Jenovaah, eux étaient aussi encerclés mais le giadrome leur faisait face.
- Occupe toi de petits j'abats leur chef ! Ordonna Jenovaah.
Varr dégaina lui aussi et attaqua. Quelques petits monstres imprudent se fient tuer tout de suite mais les giapreys se réorganisaient rapidement et Varr fut de nouveau au centre d'une petite bande. Il se disait que si il enlevait son bandeau il balayerait tous les petit monstres mais Creb lui avait interdit d'utiliser ses crises pour des futilités. Jenovaah avait rapidement terminé de tuer le Giadrome et partit aider Jaina visiblement entourée d'une vingtaine de bêtes. La bataille dura ainsi pendant quelques minutes et enfin les derniers giaprey restant s'enfuirent. Les trois voyageurs nettoyèrent leurs armes, rangèrent leurs affaires et se remirent en marche. Après un pose déjeuner rapide il arrivèrent à l'entrée des cavernes d'où sortait l'étrange son. Il empruntèrent alors le premier tunnel qui s'offrait à eux et longèrent pendant une petite heure une longue paroi de glace. Le froid était intense et les beuvage de boisson chaude ne durait pas longtemps. La petite troupe arriva à une intersection mais l'un des tunnels était bouché. Ils prirent donc le tunnel le plus sur leur droite. D'après Jenovaah, cela tombait mal car les sons venaient de ce tunnel. En effet, ils arrivèrent dans une petite grotte où ils furent stupéfait par le spectacle. Un Khezu semblait couver un œuf mais ce dernier était briser et l'embryon mort. A femelle wivern, atrophiée des yeux ne s'en apercevait pas. Quand elle sentit les voyageur elle se retourna et fit barrière de son corps pour protéger son petit.
Jenovaah s'écria :
- C'est bien un Khezu adulte et vu les marques qu'il porte ce n'est pas envisageable que des chasseurs de niveau inférieur l'affronte ! Fuyez je vous rejoindrais !
- Mon grand frère a raison Varr il faut y aller !
- Je peux vous en débarrasser facilement , s'écria Varr il faut juste le blesser...
Jaina se retourna :
- Grand frère on fait quoi ?
Déjà le khezu avait attaquer en chargeant sur Jenovaah. Ce dernier avait bloquer la charge et força sur ces muscle de façon si puissante que le kehzu recula. Dans la foulé Jenovaah lança ses deux « flammes jumelles » à Varr qui les attrapa.
- Je le blesse et tu t'en occ....
Mais déjà la wivern avait assené un grand coup de queue à Jenovaah qui fut projeté contre la paroi. Sous le choc, des stalactites se décrochèrent du plafond et atterrirent sur la wivern enragée. Un se planta dans son cuir et le sang coula. Varr avait retiré son bandeau et son casque. Un éclair de lumière se produisit et le dieu fit son œuvre. Les doubles lames, de feu furent recouvertes et le massacre recommença devant les yeux impressionnés des deux frère et sœur...


Chapitre 8 : Une équipe, une étape, un mystère.
Les cris de la femelle wivern résonnait dans la caverne, des cris de détresse et de douleur. Mais le dieu n'y prêtait pas attention, exterminer était la consigne. Enfin après une longue souffrance et impuissance le Khezu déchiqueté s'écroula au sol. Jenovaah eût le courage de pose sa grande main sur l'épaule de Varr, il regretta tout de suite son geste en voyant que le jeune homme n'était pas encore redevenu lui même. Le corps de Varr se retourna vers Jaina et Jenovaah, les yeux blancs pleins de force et les étrange marque émettaient une fumée bleuâtre. La créature ouvrit sa machoir et poussa un cris terrifiant qui se répercuta dans toute la montagne et se termina par un juron odieux et deux ou trois éternuements grossiers. Varr était redevenu lui même, ceci en était la preuve.
- Hé bien tu nous as mis une de ces frayeurs Varr ! Commenta Jaina.
- Désolé... rougit je jeune garçon.
Après une mise au point et le récit à Varr de ce qui venait de se passer, le troupe se remit en route activement. La grotte dans laquelle s'était déroulée la bataille était recouverte d'une épaisse couche de glace, néanmoins une ascension restait possible. Ils escaladèrent donc la paroi et se retrouvèrent sur une corniche qui débouchait justement au col qu'il leur fallait passer. Il sortirent des profondeurs de la montagne par une étroite fissure et arrivèrent au col. Là le froid redoubla, il fallait vite redescendre car Jaina et Jenovaah ne possédaient plus de boissons chaudes. Mais ce qu'il virent là haut les troubla. Un homme âgé d'une trentaine d'année était dehors, derrière lui se tenait une petite cabane aménagée. Cet homme était assis sur un vieux siège de pierre usé par les intempéries.
- Hey ! Salut la compagnie ! Qu'est ce qui vous amène si loin ? Cria-t-il car le vent assourdissait ses paroles.
- Nous sommes de passage cria Varr à son tour. Nous devons parvenir à la capitale de Dondruma !
À ces mots l'homme afficha un grand sourire :
- He bien, me ferez vous l'honneur de vous reposer chez moi ?
Jaina n'en pouvait, ses jambes étaient fatiguées et elle était toute meurtrie par le froid intense. En voyant l'état de sa sœur, bien qu'ils ne devaient pas s'arrêter, Jenovaah accepta.
Ainsi ils entrèrent dans la petite cabane. Varr fut étonné de l'intérieur encore plus que de l'extérieur. La cabane était composée d'une seule pièce avec un petit lit de paille accolé à une chaudière. Tout était décoré avec goût, mais surtout au fond, une rangée de multiples arc de chasse était entreposée. Des arc tous plus beau les uns que les autres sauf un qui dépassait largement la collection, l'arc Akantor. Dans un coin, Varr remarqua aussi une armure mais ne savais pas de quoi elle était faite. Jenovaah poussa alors une grande exclamation.
- Sacrebleu ! Vous n'êtes pas un mauvais chasseur si vous possédez une armure faite d'Akantor.
- Oui ,répondit l'homme, et vous serez surpris par mon nom alors. Je me nomme Arkanos et j'étais chasseur de rang sept. Une belle carrière si vous voulez savoir.
Puis il ajouta tout bas :
- Bien que troublée...
Seul Varr l'avait entendu, mais il n'y prêta pas attention. Arkanos s'exclama alors.
- Bon ! C'est la première fois que je reçois de invités depuis presque cinq ans moi ! Que voulez- vous manger ?
- Nous n'allons pas nous attarder, l'informa Jenovaah. Il nous faut nous rendre au plus vite à Dondruma.
- Et pouquoi ? Questionna Arkanos curieux.
Varr se retourna, il avait enlevé son casque et ses cicatrices apparaissaient sous sa chevelure.
- Cela ne vous regarde pas, trancha-il.
En le voyant, Arkanos afficha un visage soupçonneux et fut secoué de tremblement nerveux.
- Bien, dit -il d'un air décontracté. Alors permettez moi de vous accompagner. Ma maîtrise de l'arc et ma protection vous pourrait être favorable. Je rêve de reparcourir nos riches contrée ! Il est tard, nous n'avons qu'a repartir demain.
À contrecœur, la troupe accepta ce nouveau venu et cette étape inattendue. Après un bon repas , Varr, Jaina et Jenovaah partirent coucher à la belle étoile.

La nuit passa très lentement pour Arkanos qui n'en croyait pas ces yeux, enfin le temps était venu !

C'est à l'aube qu'Arkanos vint réveiller ses trois invités. Ils se préparèrent, Arkanos donna de nombreux breuvage chauds et une heures plus tard le périple reprenait. La troupe comportait maintenant un nouveau membre. Ils avaient enfin passé le col et redescendaient vers les immenses plaines de Dondruma. Une semaine passa sans le moindre incident. À vrai, dire, Arkanos ne parlait presque pas et restait discret la plupart du temps contrairement à ce que la troupe aurait pût croire. Enfin après une semaine et demi de descente, Les quatres chasseurs arrivèrent enfin à l'étape la plus périlleuse du voyage, la traversée de plaines pour rejoindre l'est et le colline de la grande forêt.
- Et voilà ces fameuses plaines gorgées de bêtes assoiffées de sang, un bon combat ne me ferait pas de mal.
En entendant Arkanos dire cela, Varr fut curieux à sa façon de manier un arc. Et d'un pas de dominant, Arkanos entra dans les herbes folles de plaines. Jenovaah et Jaina, eux, étaient inquiets, ils avaient à de nombreuses reprises entendu parler de ces étendus dangereuses. Ils savait que l'on pouvait même y rencontrer le puissant Tigrex lors de ses migrations vers les montagnes pour chasser. Les wivern et bêtes qui vivaient là, n'étaient pas de simple monstre de niveau inférieur mais bien des forces de la nature capables de raser une ville entière. Une seule chose les rassurait, Arkanos semblait connaître Varr plus que quiconque.


Chapitre 9 : Arkanos
C'est ainsi que les voyageurs entrèrent dans les plaines. Après avoir marché toute la matinée, ils firent une pose pour déjeuner. Le repas, généreusement procuré par Arkanos était plutôt copieux. Ainsi, la troupe se remit en marche activement et marcha d'une bon pas jusqu'au soir. Arkanos s'écria alors :
- Halte ! Je crois que le coin est parfait pour passer la nuit.
- Ouais, ben c'est pas gagner avec les bêtes qui rôdent, commenta Jaina.
Mais il étaient tous fatigués et finirent par céder. Arkanos et Jenovaah dressèrent la tente pendant que Jaina et Varr préparaient le diner. Après un bon repas ils partirent se coucher. C'est Jenovaah qui assura la garde le premier.
C'est alors que après une heure de garde, Les autres entendirent un cri, il ne venait pas d'une bête, mais bien de Jenovaah. Jaina, paniquée sortit précipitamment et évita de justesse un coup d'aile tranchante. Un Nargacuga venait de faire son apparition. La troupe était sans le savoir, entrée sur son territoire, le Narga en était furieux. Après une rapide roulade, Jaina se releva et jeta un coup d'œil à son frère presque mort. Une jambe lui manquait, tranchée par les ailes, et il était sans connaissance. C'est à ce moment là que Arkanos sortit de la tente, protégé par son armure Akantor et armer de l'arc du même nom.
- À nous deux, petit oiseau ! Cria-t-il.
Varr, armé était aussi sortit de la tente, et resta pétrifier par le spectacle qui se déroulait devant ses yeux : Arkanos avait retiré son casque, C'était la première fois que Varr le voyait tête nue. Arkanos était chauve. Une épaisse fumée noir s'élevait de sa tête, des cicatrice de même nature que celles de Varr étaient visibles sur le haut de son crâne. On entendait un grondement sourd venant de l'intérieur du corps d'Arkanos. Tout son buste tremblait, un secouement nerveux frénétique le rendait effrayant. Le Narga le regardait avec un regard de méfiance et en même temps de crainte, il ne bougeait pas. Enfin après quelques minutes interminables pour Varr, Arkanos tourna sa tête vers le jeune homme. Il fixa sur le jeune garçon avec des yeux noir profonds , et en même temps ténébreux.
- Hé oui petit frère ! Tu n'es pas seul. On est pareil, sauf que toi tu ne te contrôle pas....
Et s'élancant avec son arc vers le Narga il ajouta en hurlant de toute ses forces :
- PAS ENCORE !
Une pluie de flèche s'abattit sur la bête noir qui cria de douleur et de rage. Le Narga assena un coup de pâte rageur vers le torse d'Arkanos. Ce dernier plongea sur le coté et d'une seule flèche aveugla la bête d'un œil. Elle recula d'une bond et fonça rapidement sur Arkanos. Varr avait vu le sang du narga, mais aussi celui de Jenovaah. Le dieu blanc pris le dessus, dégaina et s'élança d'un cri vers Jenovaah ! Alors Arkanos, envoya une flèche d'une telle puissance qu'elle s'enfonça profondément dans le torse du Narga, et en une fraction de seconde, il couru vers Varr auquel il asséna un terrible coup de point. Le dieu ne compris pas mais s'écroula inanimé. C'est ce qui sauva Jenovaah d'une mort terrible. La Nargacuga était furieux, aveuglé par la rage il chargea Arkanos à la façon d'un tigrex. Arkanos chargea une flèche visa la tête, et décocha. La précision sans égal de la flèche fut fatale au narga qui, par la perte du fonctionnement de son cerveau s'écroula raide mort.
Arkanos, poussa un cri de victoire et posa son arme à terre. Il se débarrassa rapidement de son armure, redevint normal, et partit aider ses compagnons.
Jaina, folle de chagrin n'avait rien vu du combat.
- Il va mourir de toute façon hurlait-elle sans relâche.
Pendant toute la nuit Arkanos fit tout ce qui était en son pouvoir pour arrêter le saignement.
- Il nous faut aller au village le plus proche, dit-il. Je connais un village à cinq jour d'ici, continuez je vous rejoindrais.
Arkanos réanima Varr. Puis ils rangèrent leurs affaires, et dormirent un peu. Sauf Jaina qui ne cessait d'observer son frère. Le lendemain, Varr et Jaina se réveillèrent seuls. Ils avaient à coté d'eux de vivre leurs armes et leurs armures. Arkanos et Jenovaah avaient disparus. Seule un lettre griffonnée à la hâte disait :
Je pars soigner Jenoovaah, continuez !

Ainsi, Jaina et Varr se préparèrent et et reprirent la route de la traversée des plaines. Jaina lui avait raconté qu'il avait attaqué son frère pendant sa transe. Varr s'excusa longuement, mais Jaina lui avait déjà pardonné, ce n'était pas sa faute, elle le savait.


Chapitre 10 : Une révélation.
Cela faisait maintenant une semaine que Varr et Jaina étaient partis seuls à travers les plaines. En route ils avaient rencontré plusieurs Wiverns comme une Rathian mais aussi un Gypcéros. Varr, grâce à ses crises, les avaient vite abattus, bien qu'il leur était au départ difficile de blesser le monstre une fois. Pendant cette semaine, Varr avait raconté en détail l'étrange métamorphose d'Arkanos et son combat mortel contre le Nargacuruga. Ils voyaient maintenant se profiler au loin les grands espaces boisés des collines. Et un soir alors qu'ils dormait sous un rocher à l'abri de bêtes féroces, ils entendirent un craquement de feuille morte près de l'entrée du rocher. Varr, roula sur le côté, saisi alors sa fusarbalète prête à tirer, et lorsqu'il vit une forme se dessiner à l'entrée du petit abri, il tira, un bruit sourd se fit entendre.
- Dis donc frérot ! Ça se fait pas de tirer comme ça à l'improviste !
C'était Arkanos ! Il tenait la balle entre ses doigt.
- Hey ! Alors où est Jenovaah ? Il va bien ? Et sa jambe ?
- Holà, Jaina, du calme, il se porte bien ! J'ai trouvé au village une médecine adéquat pour son cas, sa jambe sera recolée et dans un an il pourra recourir, marcher et chasser comme avant ! Je sais un an, c'est long, mais nous allons devoir nous passer de lui pour le moment Jaina.
Aux paroles d'Arkanos, Jaina se calma et se rallongea. Varr lui voulait avoir les idée clair :
- OK, explique moi tout depuis le début. Depuis quand tu peux te transformer, comment tu contrôle tout ça ? Je veux tout savoir.
- D'accord, mais je te préviens je n'en connais pas beaucoup la dessus ! J'ai appris à contrôler mes crise par l'intermédiaire d'un ancien chasseur. Je crois qu'il s'appelle Tulgar. Ce ne serait pas une mauvaise hypothèse que ce sois ce sage là que tu vas voir.
- Bon, explique moi.
Et après un grand soupir Arkanos commença :
- Alors, cela fait maintenant quatorze ans, que j'ai eu mes premières crises. Oui, exactement à ton age. J'ai massacré ma famille en voyant une écorchure sur le doigt de ma soeur. Je ne te raconterais pas plus la dessus. Alors je suis parti. J'ai voyagé et j'ai erré pendant deux longues années. Jusqu'au jour où je suis arrivé sur les terres de Dondruma. Elles étaient infestées de wivern et le sont toujours! J'ai commencé à me battre à l'age de dix-neuf ans donc. C'était plutôt étrange car les bases étaient déjà là. Je savais maîtriser deux types d'armes seulement. Je les maîtrisais parfaitement, jusqu'au jour où j'ai oublié la façon de me servir d'une fusarbalète, j'ai donc utilisé l'arc comme seule arme. Je suis facilement monter dans les grades et les rangs, mes crises me facilitaient la tâche. Je ne les avais pas déclarées à la guilde. Un jour, j'étais alors rang cinq, un chasseur en fin de carrière m'a dit qu'il savait qui j'étais, et qu'il pouvait m'apprendre à maîtriser mes crises. Ce chasseur s'appelait Tulgar. Il était incroyable car il maîtrisait toutes les armes et à la perfection ! J'ai donc appris à gagner sur l'être qui se trouvait en moi . Et je peux maintenant le contrôler et m'en servir. Mais je ne pourrai pas t'apprendre à en faire de même. C'est à toi d'aller voir le sage dont ton certain Creb t'a parlé. Voilà une partie de l'histoire.
- J'aurais voulu en savoir plus mais je préfère voir le vieux, affirma Varr.
C'est alors que l'on entendis en cri poussé par Jaina.
- Mais dégage, espèce de... ! Au fait, t'es qui toi ?!
Un petit bonhomme se tenait près de Jaina et mâchonnait salement un morceau de viande. Arkanos arriva vite à la rescousse.
- Il est avec moi ! Le tue pas ! Dit Arkanos en voyant Jaina sortir son couteau de dépecage. C'est grâce à lui que j'ai pu vous retrouver. En fait je suis revenu au lieu de mort du Narga, et c'est là où j'ai buté contre lui. Il a un drôle d'objet qui le rend invisible. Il se cachait dans un buisson et croyait que le Narga était vivant ! Enfin, il est peureux mais c'est un vrai fouineur et il est pratique. Je propose qu'on l'embarque avec nous.
- Heu.. vu qu'il était en train de piquer une de mes rations ce voleur n'est pas une bonne fréquentation !
- Oui Jaina mais il peut se rendre utile ! Insista Arkanos. Et toi Varr, tu en penses quoi ?
- Ben, c'est ok si il ne se met pas en travers de notre route.
- Ha ben ça ! Dit le petit bonhomme. Je suis bien content ! Moi c'est Zoken ! En fait je me suis perdu... Hé ! Je voulais aller dans le village de Kokoto, mais je me suis retrouvé devant un bande de shakalaka, et j'ai couru ! Maintenant je retrouve plus la route. Je suis pas malin hein ?
Au grand sourire qu'affichait Soken, il y eu un moment de silence brisé par Jaina.
- Bon ! Quand le nain aura finit de raconter sa vie on pourra dormir !
Varr rangea son arbalète tout en acquiesçant. Arkanos prît le premier le tour de garde, vite rejoint par Soken qui ne voulait plus le quitter. Les deux autres s'endormirent profondément jusqu'au petit matin.
Bien que la nuit fut courte, la petite troupe se remit en marche le lendemain. Après avoir quitté leur abris, ils se retrouvèrent face à une troupe de bullfangos avec à leur tête un Bulldrome. Le bataille fut rapide, Varr avait remis son bandeau ce qui lui permettait de garder ses habitudes de chasseur sans avoir à passer le relais à celui qu'il appelait son fort intérieur. Ils marchèrent encore quelques jours ; différentes batailles avaient lieu, parfois contre de simple vélociprey, d'autre fois des wivern affamés. Arkanos se battait rarement à présent. Il laissait Varr et Jaina se débrouiller seuls. Soken lui partait toujours en « éclaireur » lors d'une bataille. La compagnie le retrouvait alors souvent caché dans un buisson. Après une bonne semaine de marche, ils arrivèrent enfin à la lisière des forêts bordant les collines.
- Ces forêt n'abritent pas beaucoup de monstre dangereux, mais contiennent des brigands de la pire espèce ! Prévint Arkanos. Mais nous risquons pas vraiment de les rencontrer. Il faut juste arriver sur les collines. Cela prendra peut être quelques heures. Ça ne sera pas long.
Ainsi, ils entrèrent dans la forêt, confiant.


Chapitre 11 : Un détour qui réchauffe.
- Bon bah on est enfin à l'air libre, sortit Soken.
La compagnie après quelques heures de marche avait en effet atteint les collines. Ils avaient marché dans la forêt sans incident.
- Bon, dit Varr, Creb m'a dit qu'il avait laissé des instructions sous une pierre en forme d'œuf. Alors... tient elle est là !
Varr retourna la pierre et trouva en effet une lettre écrite rapidement de la main de Creb. Le jeune garçon commença à lire.
- Bon, voilà ce qu'il y a marqué : « Varr, il te faut maintenant passer par le passage des Dents Rocheuses. Tu le reconnaîtras à coup sur. Fait très attention, des pierres peuvent s'écrouler et tu pourrais rester bloqué. C'est le seul passage. Sinon il te faudra passer par le désert. C'est un endroit aride, ton armure ne ferait pas l'affaire. Si le passage est bouché, rend toi au village de Lipuko. C'est le village des collines. J'ai tout organisé, tu peux y trouver des chevaux, une armure à base de Yan Garuga ( oui tu vas ressembler à Jaina ), des vivres. Bonne chance. Creb.
- Bien, il est cool ton copain, le passage est bouché, déclara Arkanos. Regardez, on le voit d'ici ! Tout c'est écroulé. Bon, le village de Lipuko est sur la route du désert. C'est bon, on y va.
Soken et Jaina, grognèrent pendant un moment, mais finirent par se résigner à leur sort. Varr, lui ne disait pas un mot. La troupe se remit donc en marche après avoir passé la nuit à côté de la pierre en forme d'œuf. Soken, portait la tente et les vivres. Les autres portaient tout leur attirail d'arsenal.
En fait, le désert, bien que complètement aride, n'était qu'à une semaine de marche. Si, la compagnie atteignait le village rapidement, les chevaux compenseraient le retard.
Ils se remirent en route le lendemain. Les forêts et collines étaient des endroit où peut de monstre venaient. Ils ne rencontrèrent alors aucun animal agressifs. Deux jours plus tard ils arrivèrent au village de Lipuko. C'était un petit village paisible située près de la frontière entre les collines et le désert aride. Peut de chasseurs y séjournaient, mais il était réputé pour la qualité des armes et armures produites. Quand la compagnie arriva, elle entra sans perdre de temps, à la guilde instalée dans un tout petit hall. Là, Varr se présenta au responsable et celui-ci acquiesça d'un mouvement rapide de la tête. Ainsi, la compagnie reçu des chevaux, des vivres et Varr sa nouvelle armure. Le jeune homme laissa son armure à base de Blangonga et prit soins de convoqué un messager pour aller reporté cette amure à Pokke.
L'après midi même, après quelques heures de repos, la compagnie repartit vivement au galop vers le désert.
****************
- Alors, finalement ça s'est bien passé au village, non ? Dit Zoken.
La troupe avait quitté Lipuko depuis environ quatre heures et les chevaux trottaient à vivent allure.
- Ouais, répondit Varr. J'ai l'air ténébreux moi avec cette armure ne tout cas...
Zoken et Jaina pouffèrent de rire. Mais Arkanos se tenait calme et droit. Sur son visage se lisait le doute. Il dit alors à Varr :
- On part un peu devant,faut que je te parle.
Les deux chevaux prirent un peu d'avance sur Zoken et Jaina.
- Tu sais Varr, je viens de penser à quelque chose, dont j'ai oublié de te parler. Le vieux Tulgar m'a dit aussi que nous étions six dans le même cas. Plusieurs couleur différentes. Les couleurs...Hé ! Ça peut paraître ridicule de parler de couleur, mais je crois que nous sommes : blanc, noir, pourpre, bleu, et un autre blanc. Je ne me rappelle pas de la suite... Je dois dire que ma mémoire est courte ! Mais bon...
Trois jours plus tard, ils arrivèrent donc dans le désert.
- Bon ! Dit Arkanos. Le désert est dangereux et sans pitié, il faut donc rester groupé !
Les chevaux s'engagèrent dur la route ensablée depuis des siècles.
C'est alors qu'un peu plus tard dans l'après midi., la troupe entendit des cris de bête mêlés aux cris d'hommes en plein combat. Le choc des armes retentissaient à plusieurs kilomètres à la ronde.
Ils descendirent tous de cheval et allèrent les cacher.
- Bon, Jaina et Zoken, vous restez là ! Varr tu viens avec moi ! Ordonna Arkanos.
Ils prirent leurs armes, et partirent en direction des chocs. Ils restèrent ébahis par ce qu'il virent. Deux hommes se battaient avec rage autour d'un Tigrex. Ce dernier ne semblait avoir aucun mal à repousser ses deux assaillant. Varr cria :
- Hé ! Vous voulez de l'aide ?
Le Tigrex perçut le son et arrêta tout mouvement pour se tourner vers les deux nouveau venus. Les deux assaillants profitèrent de l'occasion pour poser un piège. Le wivern fut directement stoppé par les ondes de choc du piège.
- Ouais ! On veut bien de l'aide !
Varr et Arkanos accoururent, armes à la main. L'un des hommes parla :
- C'est une femelle Tigrex qui protège ses petit, on était juste venu collecter des herbes nous ! Dit-il en pointant son doigt vers le Tigrex paralysé.
Arkanos montra alors un visage terrifié.
- Dites moi, vous deux, vous savez que si elle protège ses petits, cela veut dire qu'ils peuvent attaquer à tout moment.
- Ohé ! Des moucherons ! On est de rang 6 quand même !
- Regardez ces ailes, elles sont grises ! Ça veut dire que ses petit sont à l'âge de l'adolescence... Là où le Tigrex et le plus puissant !
Ce fut à ce moment là que la femelle wivern se dégagea du rayon paralysant, elle émit alors un cris de détresse qui ressemblait plus à un appel.
- Et, sinon, une femelle ça comporte combien de progéniture en une seule portée ?
- Quatre minimum... Avoua Varr, paniqué.
L'homme prit alors ses jambes à son coup et s'enfuit. Mais l'autre resta. On entendit alors quatre bruits de chute. La femelle Tigrex sauta par dessus les trois chasseurs, et rejoignit ses petits. Le chasseur inconnu parla tout bas d'une voix de démon :
- Je suis Silence, réincarnation du Fatalis pourpre, vous, Tigrex, avec Arkanos réincarnation de l'Akantor, et Varr de réincarnation inconnue, nous allons vous éclater !

A Suivre

cool, super !

Voilà, j'ai mis la suite, il y aura encore une suite.

Non de dieu ! o0 encore !

désoler je vais pas tout lire trop long xD

Le chapitre 10 et 11 ont été éditer dans le message.
Les chapitres 12, 13, 14, 15, 16 sont dans le messages suivant.

Suite:





Chapitre 12 : Le trio des dieux.
Le vent brûlant soufflait fort dans le désert de Dondruma. Trois hommes, armés et chasseurs se tenaient face à cinq Tigrex d'une grande puissance.
Aux paroles de Silence, Arkanos lui lança :
- Tu nous connais ?
- On en parlera plus tard, plus le temps.
L'homme du nom de Silence s'approcha rapidement de Varr et lui posa la main sur le torse.
- Seigneur, ne voyez aucune agression dans ce geste, je laisse votre corps se contrôler. Varr, pendant exactement un peu plus d'une heure tu vas pouvoir contrôler tes crises et la créature qui t'habite.
Et sur ces paroles Silence envoya une décharge bleutée directement dans la poitrine du jeune hommes. Varr poussa un cri et ces cicatrice devinrent blanches et lumineuses.
- C'est fou je garde mes esprits... Quelle sensation de puissance je...
Varr n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'un Tigrex le fit voler à quelque mètres. Suite à une roulade rapide, Varr se releva et regarda le Tigrex droit dans les yeux. Ce dernier stoppa tout mouvement et revint vers ses frères. Les cinq Wiverns se repartirent autour des chasseurs.
- Varr ! Rejoins nous !
Le jeune homme fut en quelques enjambée à nouveau prêt des deux autres. Les Tigrex hurlaient et claquaient des mâchoires.
- Dos à dos ! Hurla Arkanos.
Les trois combattant se mirent en position, et se mirent en garde. Silence dégaina un grand marteau en Caenataur Shogun, Varr sortit son Vrai trancheur de Démon, et Arkanos sortit son arc en Akantor. Les wivern, conscient de la situation engagèrent le combat. Arkanos et Silence se transformèrent.
- C'est partit !
Varr s'élança vers un premier Tigrex en même temps qu'un second le chargeait. Il enfonça profondément son arme dans l'aile du premier et sauta par dessus le second qui croqua dans le cou de son frère. Ce dernier hurla de douleur et recula d'un bon. Les deux Tigrex se retournèrent vers Varr et attaquèrent par morsures. Cette fois Varr prit vraiment l'offensive, et après un sourire démoniaque il fit tournoyer son Katana au dessus de sa tête et frappa. Arkanos, lui s'amusait, il riait aux éclats, un rire de démon, il décochait plus de dix flèches par seconde. Son adversaire, la femelle agissait et attaquait aveuglément. Quand à Silence, il avait l'air détendu et calme face aux deux autres Wiverns. Son marteau frappait fort sur les crâne et au bout d'un moment il brisa la boîte crânienne d'un des Tigrex qui s'écroula raide mort. Son frère, en rage fonça sur Silence qui l'évita et chargea un coup qu'il abattit sur la patte droite du Tigrex qui fut broyée sous le choc.
Le femelle Tigrex chargea alors Arkanos qui lui envoya deux forte flèche dans les ailes. Cette charge fut stoppée nette. Arkanos sauta par dessus la femelle et décocha un série de flèche meurtrières qui s'abattirent sur le dos du monstre.
De l'autre côté des dunes, Zoken et le chasseur fuyard s'étaient un peu rapprochés pour observer le combat. Lorsqu'il virent au dessus des dunes, la scène de carnage apparu. Les arme virevoltaient comme de simple branches qu'on agite, le sang coulait à flot et on entendait de là les rires démoniaques de Varr et Arkanos. Tout se passait très rapidement. On entendit alors un second hurlement de douleur. Le femelle wivern était enfin achevée par Arkanos qui partit prêter main forte à Varr, mais ce dernier lui envoya un formidable coup de point.
- Y sont à moi ! C'est les miens ! Hurla Varr en enfonçant son arme dans l'œil d'un Tigrex qui s'effondra, mort.
Les trois chasseurs bougeaient tels des ombres sur un fil de soie, on aurait dit qu'il volaient. Le fracas du combat, se faisait entendre très loin au alentour. Enfin, après environ une quarantaine de minute de combat, les derniers Wiverns furent abattus. Cinq Tigrex gisaient alors sur le sol. Les trois dieux, n'avaient aucune blessure, mais étaient quand même un peu essoufflés. Jamais ils n'avaient connu pareil combat.
Ils redevinrent eux même et regardèrent autour d'eux.
- Eh ben ! Ça c'était quelque chose ! S'exclama Varr.
- Oui, quelle joie, je me sentait bien, il y avait longtemps que je ne m'était pas retrouvé dans un tel état. Regarde ton armure Varr, elle est en lambeaux !C'est normal, tu ne sais pas encore très bien esquiver. Récolte tout ce que tu peux sur ces bêtes, avec un peu de chance, un bon artisan t'en fera un armure de rang supérieur.
Varr sortit son couteau et commença à dépecer.
- Bien ! Dit Arkanos. Monsieur le Fatalis à des explications à nous donner. Pourquoi n'avez vous pas déclenché directement votre crise devant cette femelle lorsque vous étiez avez votre trouillard de copain ?
- Je n'était pas venu pour me battre, et je ne pensait pas avoir affaire à un tigrex de niveau supérieur. Ce sera tout. Répondu Silence.
- Nous allons à Dondruma voir un sage, veut-tu venir avec nous ? Demanda Varr.
- Je sais...
- Tu sais bien des choses... constata Arkanos.
Jaina arriva alors en courant accompagnée de Zoken et du chasseur fuyard. Elle amenait les chevaux avec elle.
- Wow ! Le carnage que vous avez fait ! C'est surprenant.
Puis en s'adressant à Silence.
- Tu es un nouveau toi ? Tu peux retirer ton casque maintenant.
- Il ne retire jamais son masque. Et il garde toujours avec lui cette armure. Il ressemble à la mort incarnée...
C'était l'autre chasseur qui avait parlé. Tout en dépeçant un Tigrex, Varr lui demanda :
- Alors, toi c'est comment ?
- Moi c'est Fenrhir, mais vous pouvez m'appeler Fen.
- Ton armure est belle Fen en tout cas. Une Kushala , mes compliments. Et pas n'importe laquelle ! Tu es de rang supérieur ? Demanda Arkanos.
- Oui, répondit Fenrhir. J'habite à Kokoto. Mais parlons plutôt de vous, je vois que l'armure du jeune homme n'est plus en très bon état. L'armure Tigrex, quelle que soit sa catégorie fait partie des spécialité de mon village. Je vous propose de vous y reposer quelques jours. Avec tous les composants que vous avez pu récupérer, nous pourrons facilement vous créer une armure de type «S». Votre prix sera le mien. Cela vous intéresse ?


Chapitre 13 : Une dernière étape
Ce fut Arkanos qui répondit pour Varr :
- Moi je suis d'accord, une armure tigrex pour rang supérieur c'est une bonne proposition !
- Je suis aussi d'accord mais, il ne faut pas oublier qu'il faut se rendre à la capitale de Dondruma, observa Varr. Si on passe par Kokoto, il nous faudra aller par les montagnes rocheuse. C'est plutôt tranquille là bas non ?
- Ce n'est pas tranquille du tout ! Cria Jaina. On peut y rencontrer des Rathalos, des wiverns volcanique et même un Lao shan lung ! Ce n'est pas une bonne route du tout !
- Ne soit pas pessimiste, dit Arkanos. De toute façon c'est le seul chemin.
Après, cette discussion, la troupe accueillit deux nouveaux membre : Silence et Fenrhir. Il rangèrent leurs affaires, passèrent en revue tout le matériel du voyage, et reprirent la route vers Kokoto. Ce village ce trouvait à quelques heures de marche. Rapidement ils furent à Kokoto.
Le village était plus grand que Pokke. Il se composait également d'une ferme, mais celle-ci faisait le double que celle de Pokke. Il y résidait une grande quantité de chasseurs et de voyageurs venus des quatre coins de Dondruma. La troupe s'installa dans une petite taverne à proximité de la guilde. Silence alla s'installer seul pour siroter sa pinte.
- Bon après on fait quoi ? Demanda Jaina.
- Après on se rend à la chambre qu'on a réservé, on prend tous les composants ramassés sur les tigrex et on va les donner à l'artisan du village pour en faire une armure. Répondit Arkanos. Ah oui, Fen, cela coûte combien ?
- Eh bien, en comptant le tout, on doit s'en tirer autour de cinquante cinq milles «Z». Je vous donne la moitié, et vous payez le reste. Ça vous va ?
Arkanos sortit une petite bourse de sa sacoche.
- Bon, moi j'ai... Quinze mille. Il nous manque un peu plus de dix mille.
- Si je vends mon arbalète, cela tournera autour de vingt et un mille. Il manque à peut prêt six mille ! Ça fait quand même une somme !
- Je les ai ,dit Zoken avec un grand sourire.
- Où tu as eu ça toi ? !
- Ça ne te regarde pas Jaina !
- Bon, alors le compte y est. On y va.
Ils sortirent donc de la taverne et se rendirent dans la chambre qu'il avaient louée. Ils prirent les différents composants, et à l'aide d'une carriole, les amenèrent à l'artisan.
- Yo, bien le bonjour, dit celui-ci. Je peux faire quoi pour vous étrangers ?
- Ceci, dit Arkanos en posant un crâne de Tigrex sur le comptoir.
L'artisan examina attentivement chaque composants, puis s'adressa de nouveau au groupe.
- Dans ce village nous avons toujours une armure Tigrex. Vous avez de la chance ! Donnez moi les composants nécessaires et l'argent, et l'armure est à vous !
Varr paya donc et quelques heures plus tard, il portait sur lui une armure Tigrex de catégorie S.
La compagnie resta le reste de la journée au village et le lendemain, il repartirent vers les montagnes rocheuses.
Après plusieurs jours de galop à cheval, ils arrivèrent aux montagnes. Le jours ne s'était pas encore tout à fait levé et la montagne semblait calme. Akanos, à Kokoto, s'était renseigné à la guilde sur les monstre pouvant être présents dans les montagnes. Les indications étaient négatives. Néanmoins, ils entendirent tout de même un cri.
- Ça, c'est un Diablos ! Observa Fenrhir. Vu son cri, je dirais un Diablos noir.
Ils arrivèrent en effet vers la fin de la matinée en haut du col de Ban-Mûzem. Ils pouvaient alors voir en contrebas, un diablos noir qui s'afférait à déchiqueter les restes d'un Lodrome adulte.
Fenrhir passa devant :
- Je m'en charge. C'est un très jeune sans expérience, on le voit à la couleur de sa crête.
Il partit donc en avant en prenant un peu de d'avance par rapport au reste du groupe. Ce dernier le rejoignit un peu plus tard. Fenrhir avait déjà engagé le combat.
Alors que le diablos chargeait Fenhrir le bloqua à l'aide de sa grande épée. Assommé par le choc le wivern des sables n'eut pas le temps de reprendre ses esprits que Fenrhir abattit d'un coup formidable son arme sur la dur carapace de la bête. La carapace se fissura sur le coup, et le diablos hurla de douleur. Par un mouvement de rage, il fit bouger ses cornes de gauche à droite et Fenrhir n'eut pas le temps d'éviter. Il fut projeté contre un mur de roc. Rapidement il se releva, mais déjà, le wivern fonçait droit sur lui. Fen plongea sur le coté et envoya avec son arme un puissant coup de côté. Il brisa ainsi une patte du Diablos qui s'effondra. La bête poussait des cris plaintifs de douleur. Fenrhir s'approcha doucement et d'un geste de victoire abattit une dernière fois son arme sur le tête du Diablos qui fut littéralement broyée.
Fenrhir marcha vers la petite troupe, fier de sa victoire.
- Alors qu'est ce que vous pensez de mon combat ?
- Quand tu aura battu le père qui fonce sur toi, on verra... ,rirent Arkanos et Varr.
Fenrhir se fit volteface et poussa un juron de honte.
- Et tu m'a cru ! Dit Arkanos.
Fenrhir rumina quelques insultes et la troupe repartit d'un bon pas. Il leur fallait remonter vers la crête qui se tenait en face d'eux.
- Bon, dit Varr. D'après la carte, on a plus qu'a monter sur cette crête en face de nous.
- Ça va nous prendre une petite journée, on campera la haut. Intervint Jaina.
- Mouais, ensuite la capitale est juste derrière.


Chapitre 14 : Le sage de Dondruma.
- Hey elle est là, on en a plus que pour deux où trois heures à cheval.
Aux paroles de Jaina, Varr poussa un soupir de soulagement.
- Finalement le voyage s'est plutôt bien passé, à par pour Jenovaah. Dit Varr à tout le groupe.
La troupe entreprit donc de redescendre vers la capitale et après quelques heures de galop à cheval purent contempler tout l'immensité de la cité. La capitale de Dondruma était une ville immense. Vieille de plus de huit cent ans, elle avait évolué jusqu'à arrivé à se forme la plus aboutit. De grande porte où figurait les noms des plus grands chasseurs de tous les temps protégeait le flanc avant de la ville. La cité était entièrement protégée par la guilde de Dondruma. Des chasseurs volontaires aidaient à la sécurité accompagnés de miliciens. La ville se formait sur cinq niveaux et était haute de plus de mille mètre.
Après quelques heures de galop à cheval, la troupe entra enfin dans cette immensité de pierre.
- Bon, maintenant, il faut trouver le vieux. Dit Arkanos.
- Savez vous où chercher ? Demanda d'un ton sec et froid Silence.
- Tu parle toi maintenant ? Non on ne sait pas où chercher, mais on va se renseigner. Répondit Jaina sur le même ton.
Silence ne répondit rien mais quitta la troupe et partit seul. Le reste de la compagnie se sépara en se donnant rendez-vous devant les portes à l'aube. Varr s'occupa du premier niveau, Jaina du second, Arkanos du troisième accompagné de Zoken, et Fenrhir prit le quatrième niveau.
Varr se sentait mal dans cette ville, il ne savait pas pourquoi mais elle lui rappelait une image qu'il avait déjà vu. Il s'engagea dans une petite ruelle pleine d'immondice, cette rue,il la connaissait, il ne se rappelait plus pourquoi ni comment, il savait qu'il l'avait déjà vu. Une vieille porte en bois était entrouverte, inconsciemment, Varr la passa et se retrouva dans une pièce vieille et pleine de toiles d'araignée. Il connaissait aussi cette pièce, il s'approcha d'une vieille bougie, l'alluma et eut un choc. Cette maison était la sienne. Il reconnaissait tout à présent. Il sortit et lu l'inscription sur la porte ne bois.
- Propriétaires : M et Mme Brans, de fils Varr Brans. Décédés le 266 de l'an 1024. Lu Varr à voix haute.
Cela faisait dix-sept ans que ses parents étaient mort ! Son propre âge ! Et on croyait que lui aussi était mort ?! C'est alors qu'il entendit un voix:
- Varr ! On l'a trouvé.
C'était Zoken.
Peu après, Zoken introduisit Varr dans une pièce circulaire. Au centre se tenait un vieil homme sur les genoux. Autour de lui, étaient assis Arkanos et Silence. Le vieil homme parla :
- Bienvenu Varr, on t'attendait. Je me nomme Tulgar. Je suis celui que Creb t'a demandé de consulté. Je sais que tu te pose de nombreuses questions, sur ta famille, tes origines et ta propre existence. Je suis là pour t'apporter les réponses en ce temps difficile. Je ne suis normalement pas censé le faire mais je n'ai plus le choix vu la situation.
- Attendez ! Quelle situation ? Demanda froidement Varr.
- Si tu ne me laisse pas finir nous n'irons pas jusqu'au bout. Comme je te le disait, je m'appelle Tulgar et je suis ancien chasseur. Au court de ma carrière je pu me procurer l'immense avantage de maîtriser toutes armes à la perfection, et l'alchimie en particulier. Mon nom est inscrit sur les portes de la capitale de Dondruma si tu veux te faire une idée. Je parcouru le monde et je suis parvenu jusqu'au rang G. Le dernier rang... De nombreuse fois, j'ai aidé Dondruma contre des catastrophes qui lui aurait été fatal. Ma dernière aide, c'est vous. Je vais m'expliquer, tout vous raconter mas d'abord, Varr? Tu dois savoir te maîtriser toi et tes crises. Je suis là pour te l'apprendre. Tu est incapable de le faire seul car c'est moi et seulement moi qui peut vous y amener. Varr je vais te demander de passer dans la salle à côté. Vous autres, attendez là.
Varr s'exécuta bientôt suivi par Tulgar. Ce dernier ferma la porte derrière lui.
- Nous ne devons en aucun cas être dérangés. Je vais te permettre de te contrôler. La première étape est que tu faces connaissance avec celui qui te possède. Je vais donc te faire chercher à l'intérieur même de ton corps.
Sur ces paroles, Tulgar sortit ne fleur d'une boîte et l'écrasa dans un bol. Après, il y déposa des braises chaudes qui enflammèrent la plante. Celle ci brûla et lorsque les flammes se furent éteintes, Tulgar présenta le bol à Varr.
- Voyage au fond de toi même et montre à celui qui te possède que tu le domine. Si tu y arrives, il t'aideras, et tu pourra alors le contrôler. Inhales ta force.
Varr porta la bol à son nez et ressentit alors une sensation étrange. Il tomba à la renverse et perdit connaissance. La seconde suivante, il se trouvait sur une immense île de glace à travers un océan de feu. Devant lui de dressait un monstre d'une taille incroyable. Il faisait alors face à un Ukanlos, aussi appelé dieu blanc. Le monstre aperçut Varr et approcha son énorme tête du garçon.
- Enfin, je rencontre mon corps, tu es mon enveloppe, laisse moi sortir.
Cette voix ne cessa alors de résonner dans la tête de Varr. Mais le jeune garçon ne perdit pas courage. Il hurla :
- Je suis Varr, fils des Brans, as tu tué ma famille ? Je suis ici pour te vaincre, je te propose l'harmonie entre nos esprits !
- Sache que je ne suis pour rien dans le meurtre de ta famille, oui c'est un meurtre, Tulgar t'en dira plus. Tu n'es pas assez puissant pour me vaincre, deviens fort et reviens me voir.
- Je n'ai pas te temps à perdre !!!
Varr s'étonna lui même du hurlement qu'il venait de pousser. Il dégaina son arme et se rua sur l'Ukanlos.


Chapitre 15 : La vérité fait face aux démons.
Varr abattit avec force son katana sur l'Ukanlos. Mais ce dernier le repoussa comme d'un rien. L'armure de Varr et son arme volèrent en éclat. Il se retrouvait sans aucun moyen d'attaque ou de défense. L'Ukanlos lui assena un petit coup de patte, et Varr fut projeté contre une paroi de glace.
- Ne te relève pas, parla la voix. Tu ne peux pas me battre ! Reviens plus tard.
Tout le décor changea et Varr se retrouva à nouveau dans la petite pièce où il avait perdu connaissance. Le jeune homme se releva et regarda Tulgar agenouillé à côté de lui.
- Je n'y arrive pas ! C'est impossible...Comment mon corps peut supporter une puissance pareil ?Dit -il à Tulgar.
- Ce n'est pas vraiment ton corps qui possède cette puissance. C'est plutôt ton âme. Cependant une âme peut être séparée en deux partie, où même une infinité de parties. Mais ces parties sont toutes de la même force. La puissance de la partie de l'Ukanlos est la même que la tienne. Néanmoins, à l'état de libération, c'est à dire quand il voit du sang, l'Ukanlos déploie une force inimaginable. Pendant que tu était sans conscience, je t'ai couper au niveau de ton pouce. C'est ce qui à donner sa force à ton dieu blanc. Tu vas te rendormir, et cette fois je ne ferais rien, quant à toi, tâche de ne pas saigner.
Tulgar fit à nouveau inhaler la fleur brûlée à Varr qui reperdit conscience. Le jeune homme se retrouva à nouveau devant son ultime adversaire. La voix retentit à nouveau :
- Laisse moi sortir !
Varr ne répondit rien. Il se contenta de dégainer son arme et attaqua. Et de nouveau il entendit :
- Que compte tu faire petit, tu ne t'es pas amélioré, je le sens.
- Non peut être, mais toi tu as régressé !
Et sur ce cris Varr enfonça profondément son arme dans la carapace de son adversaire.
- Tu n'était pas sensé savoir comment me battre ! Hurla l'Ukanlos.
Varr ne prit pas la peine de répondre, il déchaina une puissante attaque surle crâne du monstre de glace. Ce dernier hurla de douleur. Varr en profita pour lui enfoncer profondément son arme entre les deux yeux.
- C'est fini, tu as perdu ! La confiance en toi n'est pas une bonne chose... Souvient toi en car à l'avenir, tu m'appartient ,cria le jeune homme .
Et d'un geste de victoire il trancha la tête de son adversaire. C'est alors que la mer de feu entourant l'île se changea en mer de glace. Toutes le fissures se bouchère et tout devint blanc. Le paysage tourna autour de Varr qui se réveilla à côté de Tulgar.
- J'ai réussi, dit -il. C'est terminé ! Je peux le contrôler ?
- Oui, maintenant tu peux. Mais il a été facile de la battre pour toi non ?
- Effectivement, c'est juste, confirma le jeune homme. Pourquoi ? Si il était aussi puissant que moi, pourquoi n'a-t-il pas pu se défendre.
- Son corps est massif, il était lent et faible. Et de toute évidence, incroyablement vulnérable. En état de libération même trois Fatalis en même temps auraient échoué. Maintenant il te faut apprendre à le contrôler réellement. Ceci, je suis désolé, mais tu vas devoir l'apprendre par toi même. Donc, tu vas aller à la guilde et tu demandera la quête la plus élevée que tu puisse faire. Par exemple, tuer un Lao Shan Lung serait parfait.
Varr et Tulgar retournèrent dans la pièce circulaire où se tenait le reste du groupe. C'est Arkanos qui parla le premier :
- Alors ? Tu l'a eu ? Tu devais être sur une île de glace non ? Moi c'était une île de feu !
Varr lui sourit et se retourna vers l'ancien chasseur.
- Vous nous devez des explications maintenant non ?
- Asseyez vous tous, cela risque de prendre un peu de temps. Depuis que je suis chasseur, je n'ai pas cessé de rendre des services à Dondruma. Comme je vous l'ai dit, j'étais expert en chaque arme et en alchimie. La plupart des combinaisons possibles viennent de moi. J'ai toujours trouvé des solutions aux problèmes, jusqu'à faire face au diable en personne. Une société de chasseurs de rang G à voulu créer la première organisation de Dragonniers. C'est à dire, qu'ils voulaient monter les dragons. Les wiverns sont des bêtes intelligentes pour la plupart et parfois extrêmement dangereuses. Ils ont voulu les exterminer à l'aide des dragons qu'ils contrôlaient. Mais tous les wiverns, pelagus où autres ne craignent pas tous le même élément. Cette société appelée CREATION a donc mis en œuvre tout son savoir pour combiner les éléments dans un même corps de dragon. Un monstre possédant la pouvoir de contrôler tous les éléments. Évidemment, ils ont réussi et bien sûr le dragon a échappé à leur contrôle. Seulement, un membre de CREATION a voulu s'emparer du pouvoir a Dondruma à l'aide de cette chose. Et grâce à un moyen que je connais très bien, il a enfermé le dragon dans son corps. Il l'a finement abattu comme vous l'avez fait vous Varr, Arkanos et Silence. Mais ce dragon que l'on nomme l'Alatreon n'est pas idiot non plus. Il s'est finement débarrassé de son possesseur et règne maintenant sur les contrée inconnus où se tenait CREATION.Nous ne savons pas ce qu'il est devenu. C'est là que vous intervenez. Je vous ai crée afin que vous tuiez ce dragon et que vous démanteliez cette organisation. Je sais ce qu'elle veut, j'en faisais parti. CREATION a maintenant pour objectif de gouverné Dondruma. Il on réussi à monter un rathalos. Les Dragonniers sont des chasseurs extrêmement puissants. J'ai donc crée six chasseurs, six réincarnations des monstre les plus puissants de Dondruma. Vous êtes trois, il y a quelques année de cela, les trois autres ont été envoyés pour la même quêtes. Il n'y en a qu'un seul qui ait survécu. Mais il loge dans les terre inconnus au delà de la mer de Dondruma. C'est à dire, là où règne l'Alatreon. Il se nomme Jimmy. Il est la réincarnation du Fatalis blanc. Vous devriez le rencontrer. Il a la fâcheuse habitude de reconnaître ses semblables. Pour vous créer, je vous ait arraché à votre famille quand vous n'étiez que des nourrissons. Ensuite votre famille vous a récupéré. Sauf toi Varr, tu es le plus puissant des six et le plus jeune. Je ne pensais pas que tu...que lorsque tu t'énerverais, tu tuerais tes parents. Je suis désolé.

Des larmes coulèrent alors sur les joues de Varr. Le jeune homme se leva :
- Tu nous as tous transformé pour satisfaire tes craintes. À cause de toi j'ai perdu ce dont j'avais le plus besoins : ma famille. Je vais accomplir ma déstinée, mais quand je reviendrais, je te tuerais. J'en fait le serment.
- Je te comprend... , répondit Tulgar. Pour aller la-bas vous serez donc en tout six. En plus Jimmy s'ajoutera à votre groupe. Vous êtes le dernier espoir de Dondruma. Cette cité ne survivra pas à deux attaques d'une telles ampleurs. Je vous souhaite bonne chance. Je ne peux pas tout vous dire pour le moment... Vous comprendrez beaucoup de choses pendant votre voyage.


Chapitre 16 : Attaque de la capitale.
Les paroles de Tulgar résonnaient dans la tête de Varr. Le jeune homme était totalement déstabilisé par ce qu'il venait d'entendre. Il sortit de la salle circulaire et une fois dehors laissa échapper ses larmes.
- Je suis désolée pour toi Varr...
Jaina l'avait suivi jusque dans le couloir de la petite maison.
- Tu n'a pas à être désolée, répondit le jeune homme. C'est mon destin qui est fait comme ça, on n'y peut rien. J'ai tout perdu, mais il me reste ma vie. C'est l'essentiel. Pourquoi sommes nous autant assoiffés de pouvoir... Notre nature est ainsi peut être. Dominé pour ne pas être dominé. J'accomplirais ma mission jusqu'au bout, même si je dois y laissé ma vie.
- Nous serons tous là pour t'accompagner Varr. Rappelle toi que tu es leur chef. Tu es le plus puissant des six. Enfin des quatre maintenant. Et ça ce n'est pas rien.
Jaina déposa un baiser sur la joue de Varr, lui sourit et retourna dans la salle circulaire. Varr, lui sortit de la maison et s'essaya sur une grosse pierre. Il tourna son regard vers le ciel et médita.
Plus tard, Arkanos et Silence vinrent le rejoindre. Silence s'adossa contre le mur et Arkanos se plaça à côté du jeune homme.
- Tu sais, Silence et moi aussi venons de découvrir une certaine vérité. Silence connaissent déjà plusieurs choses, mais cela reste un choc pour nous tous.
- Arkanos a raison, dit Silence tout à coup. Nous sommes au final tous orphelins. Il faut faire avec. Je n'ai pas choisi ce que je suis devenu, vous vous demandez pourquoi je porte un masque, je le sais. Cela fait aussi partit des choses que je n'ai pas choisi. Je vous en parlerai en temps voulu. Ainsi tu es la réincarnation de l'Ukanlos. Nous suivrons notre seigneur jusqu'en Enfer s'il le faut. Tu n'a pas à t'en faire.
Un silence s'installa dans la nuit calme de la ville. Aucun bruit ne se faisait entendre.

Tout à coup un cor retentit. Le bruit se répéta trois fois. Arkanos se leva d'un bon et cria :
- L'alarme au dragon de l'ancien temps. Un dragon ancien attaque la ville !
- Mais on ne voit rien ! Il fait nuit ! Observa Varr
- Perspicace le jeune ! Dit Fenrhir en sortant en courant de la maison, suivi par Jaina et Zoken.
Un soldat arriva en courant dans la ruelle.
- Je suis de la milice, nous avons affaire à quatre dragons. Nous ne savons pas encore desquels il s'agit. Y a-t-il des chasseurs performants parmi vous.
Varr, Arkanos et Silence s'avancèrent. .
- Nous on peut vous aider !
- Et moi je veux bien aussi, dirent Fenrhir et Jaina en même temps.
- Nous ne voulons pas de perte, venez si vous êtes confiants, répondit le milicien.
- Combien de chasseurs avez vous déjà réquisitionnés ? Demanda Arkanos.
- Un seul pour l'instant, les chasseurs ne viennent pas nombreux en cette saison, dit le miliciens. Il est passé au rang de chasseur sept récemment en tuant un Diablos gênant. Mais il est un peu blessé, nous avons besoins de chasseurs supplémentaires. Venez !
Ils descendirent en courant la ruelle et arrivèrent devant les immenses tourelles du second niveau de la ville. Là un chasseur, attendait, une énorme épée en Nargacuga sur l'épaule.
- Oyez ! Je suis Jenovaah et vous ?
- Grand frère ! Hurla Jaina.
- Ça y est finalement ? Vous êtes arrivés ! Hé bien si je m'attendais à ça ! Dit Jenovaah de se grosse voix.
- Grand frère tu m'a fait tellement peur ! Mais tu es guéri ? Demanda Jaina.
- Ouais, je me remet plus vite qu'une mauviette. Il ne faut pas exagérer.
On entendit alors un cri d'une intensité immense, et un jet de flamme bleutées balaya une tourelle du niveau inférieur. La Lunastra se posa sur le toit d'une maison et fit pleuvoir cendre et feu sur la ville. Au dessus du second niveau, tournaient deux Teostras. Ils n'attaquaient pas.
- Que font-ils ? Demanda Jaina.
- Je ne sais pas ! Répondit un milicien. En général, c'est le mal qui attaque le premier lors d'un siège. Et … attention !!
Une boule de feu énorme vint s'écraser au milieu du petit groupe. Jaina et Zoken furent projetés contre la muraille. Zoken, s'empressa d'enfiler son anneaux, et disparu aux yeux du monde. Il mit Jaina inconsciente sur son épaule, et prit ses jambes à son cou. Jenovaah s'était protégé de la garde de son arme. Varr, Silence et Arkanos, n'avaient pas bougé. Ils s'étaient contentés de se protéger derrière Jenovaah avec son impressionnante carrure. Arkanos sortit son arme et décocha une flèche meurtrière. Elle vint directement se planter dans l'aile de la Lunastra. Le sang coula. Enfin, Varr, Arkanos et Silence se transformèrent. Varr sortit son Vrai Trancheur de démon, et Silence son marteau puissant. Les trois réincarnation ordonnèrent à leur possession respectives d'attirer la Lunastra vers eux. Un cri de haine sortit alors des trois démons. Le dragon ancien du feu, se retourna, abandonna son attaque et atterrit devant ses adversaires. Devant les trois démon, la Lunastra avait conscience qu'il ne s'agissait ici pas de chasseurs ordinaires. Elle hésita à attaquer. Varr profita de cette hésitation pour porter un coup, glissa jusqu'au dragon et envoya son katana dans les cotes de celui-ci. La Lunastra rugit de douleur et et fit pleuvoir le feu sur son attaquant. Mais Varr esquiva facilement les explosions. Alors Silence chargea un coup abattit son marteau d'une puissance phénoménale sur la Lunastra. Elle s'écroula au sol. Mais un nouveau cri plus rauque retentit dans toute la ville. Ce cri brisa les vitre, fit trembler les colonnes de pierre et atteignit tous les tympans. Les miliciens, non protégés se roulèrent de douleur à terre en se couvrant les oreilles de leurs mains. Silence cria alors :
- Les miliciens se sont trompés, il n'y a pas quatre dragon ancien sur le coup. Il y en a seulement trois. Ils sont dirigés par un quatrième dragon. C'est un...
- Fatalis !!! Hurla un garde.
On vit un éclair noire et une des immense tourelle en ciment renforcé explosa dans un enfer de feu démoniaque.
- Je m'en charge, c'est un Fatalis noir, cria Silence.
Varr n'en revenait pas, Silence n'était pas si énervé d'habitude !

A suivre

a suivre! a suivre! tu en a pas déjà assez fait ?

desoler pour toi mais moi je lis pas les trucs trop long(avec de la faignantise) =)

Putin mais merde, vous êtes jamais content!
Quand c'est trop court: c'est de la m****!!
" " " long: Désolé je lis pas c'est trop long!
Mais FUCK putin!

Quand c'est pas les fics, c'est les musiques: C'est de la merde cet musique, enleve là...
putin

hum
petite colère ^^

pas de flood stp

dac

Roo julien nous petes pas une crise !!

oui mais c'est vrai que c'est super long, alors nous en veux pas.
attend sa fait peut être plus de 70 ligne oO !

on dit pas que c'est nul, loin de la
moi perso j'ai pas fini de la lire ^^

Euh croust je crois qu'elle approche des 100 lignes. ^^